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 C'est l'histoire d'un chat : Un chat nommé Samba [ Terminé ]

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C'est l'histoire d'un chat : Un chat nommé Samba [ Terminé ] Empty
MessageSujet: C'est l'histoire d'un chat : Un chat nommé Samba [ Terminé ]   C'est l'histoire d'un chat : Un chat nommé Samba [ Terminé ] Icon_minitimeMar 31 Aoû - 2:30

.:Informations Diverses:.

Nom du chat : Eclair de Lune
Surnom (facultatif) : Samba
Âge (en lune) : 24 lunes
Sexe : Mâle
Origines : Savane > Plaine > Bateau
Clan : Solitaire
Rang : //

.:Informations RP:.


Description Physique (Minimum trois lignes) : Moon est un Norsk skogkat ambre miel tabby rayée brun noir donc un chat norvégien vous l'aurez compris ( oupas 8D ). Il a des membres inférieurs un brin plus courts que les membres supérieurs ce qui défavorise sa vitesse. Heureusement, il comble cet handicap par une force résultant d'une musculature très développée qui ferait envie à plus d'un. Sa fourrure épaisse camouflait ses os épais et so
solides ( comment ça un bourrin ? xD ).

Sa tête est toute ronde, ronde comme un balle alors que ces oreilles sont triangulaires et poilues de l'intérieur, tout comme ces épais sourcils blancs. Enfin il avait de longues moustaches blanches et des yeux rouge comme le sang.


Caractère (Minimum trois lignes) :
Parceuuh qu'un coup dans ta face, ça vaut mieux qu'un long discours ... ...
Ou pas ? Effectivement, oui, ou pas. Moon, c'était tout le contraire de cette politique. Des phrases longues, loongues, loooongues ... interminables ; et la diction d'un homme de droit. De quoi s'endormir entre chaque syllabe. Bon, le point positif, c'est qu'avec lui, vous n'aviez aucun risque d'être insomniaque. Puis, il faut avouer que son bagout lui était bien utile. Ne vouant aucune attirance, et même une répulsion quasi maladive pour la violence, ce pacifiste du dimanche n'avait pour armes que ses berceuses grêles et philosophiques. Cependant, derrière ces apparences supérieures et harassantes, se cachait un tempérament relativement soupe au lait, docile, et timide. Eh bah oui, Mesdames, Messieurs, voici en exclusivité pour vous ce soir, la preuve vivante qu'on peut être introverti et jacasser comme une grand-mère en même temps. Mais si Paupaul a la causette facile, n'allez pas croire pour autant qu'il ne sait pas tenir sa langue !
Muet comme une tombe lorsqu'on lui confie un secret (c'est bon, il est prêt à mettre au cimetière), il cultive un certain respect des principes fondamentaux que l'éducation qu'il a reçue lui a inculqué.

Ah mon biquet, ça fleure bon la chevrette ! Tribord toutes ! Et que je ne vous entendâsse point !

Pervers ? Lui ? Nan, nan, nan, mais nan. Il saute juste sur tout ce qui ressemble plus ou moins à une chatte. Un épouvantail ? Oh puis merde, ça fera l'affaire, hein, tant que ça se débat pas trop ... Ah, oui, j'ai oublié de vous préciser. C'est pas sa faute, "c'est sa manière à lui de manifester son amour." ... Ouais, on va simplement admettre qu'il a réinventé la définition du mot sentiment.

Allons enfants de la patriiiiiieuh, le jour de gloire eeeest arrivé

Quoi ? Un blaireau ? Planquons nous, qu'il ne nous entaillasse point le popotin ! Une montagne de courage, cette armoire à glaces, comme il est aisé de le constater. Il conserve cependant une réputation de sanguinaire par on-ne-sait-trop quel moyen, puisqu'il fuit chaque combat. Probablement son imagination débordante et ses fantasmes délirants sont-ils si ridicules qu'ils en deviennent crédibles aux yeux de tous. Mais, bien que je me plaise à tourner ce curieux personnage en dérision depuis le début de cette description, il n'en conserve pas moins certaines qualités enfouies (un peu trop bien enfouies d'ailleurs ...) au plus profond de son âme. Sa douceur et son ouverture d'esprit le rendent attachant aux yeux de certains, exacerbant à ceux d'autres. Une seule chose demeure certaine : Nul ne restera indifférent à son caractère hors du commun.


Qualités (Minimum quatre) :
- Ouvert d'esprit
- Doux
- Dingne de confiance
- Séducteur
- Un petit tout petit peu courageux
- Intelligent


Défauts (Minimum quatre) :
- Timide
- Introverti
- Effrayé par la violence
- Mélancolique
- Pas sur de lui


Histoire* (Minimum 10 lignes) : La fraîche humidité de la saison des pluies, désirée et crainte, étendait avec une langueur silencieuse ses redoutables bras, noueux et salvateurs, sur les plaines arides de la savane endormie, imprégnant de la douce mélodie de l'éveil de ses sens les lits de rivières et la nature jaunie. A droite, un rongeur apeuré se hâtait pour tenter de sauver son antre et ses rejetons de l'inondation, en vain. La puissance dévastatrice de l'aqueux liquide boueux finit furieusement par entraîner l'amas de brindilles vers ses profondeurs abyssales, sous le regard d'une mère désemparée. A gauche, une femelle guépard traînait sa proie sanglante, un zèbre encore agonisant, au sommet d'un rocher abrupte, loin du fleuve et de ses dommages. Et là-bas, au coeur même de cette étouffante chaleur, loin des massacres ravageurs des caprices des saisons, un râle étouffé. Un gémissement réprimé. Un feulement ravalé. Deux boules de poils informes, aveugles et frigorifiées rampaient au sol, baignant dans une marre d'hémoglobine et de placenta, cherchant désespérément de quoi satisfaire leurs appétits féroces. Etendue non loin, une splendide femelle Norvégienne silver, Tamo, posa ses iris bleus, emplis d'épuisement et d'affection, sur les deux merveilles qu'elle venait de mettre au monde. Les bouches avides des chatons s'emparèrent rapidement des tétines de leur mère, pour un copieux repas, puis s'endormirent contre elle, repus.


Deux lunes plus tard.

De petits miaulements de joie s'élevaient d'une cabane, loin du tumulte harrassant de la vie sauvage. Les chatons de Tamo avaient bien grandi, et étaient à présent proches du sevrage. Désormais, ils seraient aptes à survivre sans elle. Une ombre entra dans l'antre des félins, tout murmure cessa. Un calme angoissant envahit la pièce qui, un instant plus tôt, retentissait d'éclats de rire.

- Tamo ? Tamo, c'est moi, Sam !

En entendant cette voix si familière, et si rassurante aussi, la vieille chatte sortit, ses petits sur les talons. Sam sourit. Les boules de poils lui rappelaient le jour où il avait rencontré la chatte Norvégienne, il y a de cela bien longtemps.

------------------------------


C'était par une nuit chaude, au beau milieu de la saison sèche. Toute trace d'humidité avait déserté l'air ambiant depuis bien longtemps déjà, et le zéphyr brûlant qui soufflait sur les étendues sablonneuses ne faisait qu'accentuer la sensation d'étouffement. Sam était sorti sans ses parents, ce soir la, pour une raison dont, aujourd'hui, il n'avait plus souvenir. Il avait marché longtemps, jusqu'au port, perdu dans ses pensées. Des pensées sombres, et d'autres plus gaies. La toile complexe du banal raisonnement de la plupart des enfants de son âge. Mais Sam avait quelque chose de différent des autres. Alors que tous ses camarades jouissaient du plaisir sadique de torturer, de voir souffrir, ou encore de tuer les faibles créatures qui peuplaient leur admirable faune, le jeune garçon, lui, préférait occuper ses après-midi à observer les félins, à jouer avec eux même, quand ceux-ci acceptaient d'avoir suffisamment confiance en lui, et ce depuis son plus jeune âge. La fascination qu'il éprouvait envers ces mammifères était si inlassable, sa soif de les connaître, tellement intarissable, qu'il finit par acquérir un incroyable savoir.
Ce fut un couinement presque imperceptible qui l'arracha à ses réflexions, ses souvenirs. Il leva les yeux vers le pont d'un bateau et aperçut, juste là, sur la proue, une minuscule tâche grise, presque impossible à déceler. Lorsqu'il s'en approcha, il prit conscience que ce monticule de poils n'était autre qu'un chat, si affaibli qu'il lui était impossible de faire le moindre geste, le plus infime mouvement. Il s'empara du petit corps frêle, avec toute la délicatesse de l'amour qu'il éprouvait pour les fauves, et le ramena chez lui.

Trois lunes durant, il s'occupa de la féline, terrée au fin fond de la minuscule cage qui lui servait encore de chambre, lui prodiguant tous les soins nécessaires à sa survie. Cependant, malgré qu'il investisse tous ses talents, déploie tous ses efforts, pour lui apporter un peu de confort et de fraîcheur, Sam se rendait compte qu'une chatte possédant une fourrure semblable, d'une épaisseur excessive, ne pouvait se sentir à l'aise avec un tel climat. Un jour, peut être, espérait-il, elle s'en accommoderait ... Le bien-être de la petite bête était devenu une obsession pour le jeune garçon. Il devait la sauver ! Mais plus les jours passaient, plus il sentait son obsession se transformer en amitié. Il avait trouvé une présence, une confidente, un soutien, et un appui solide et fidèle. Il avait trouvé ce qu'il manquait à sa vie.

---------------------------------------

Dans la semi-obscurité de la masure, Sam s'agenouilla près de Tamo.

- Comment vas-tu ma belle ? Les diablotins ne te rendent pas la vie trop dure ?

La digne mère lui fit part de son amusement en un frémissement de moustaches. Le jeune homme prit la vieille féline dans ses bras, avec tendresse, comme il l'avait toujours fait.

- Tu te souviens du jour où nous sommes devenus amis ? Que faisais-tu là-bas, seule, sur ce voilier ? Pourquoi avoir quitté ta taïga natale pour venir me retrouver ici, dans ma savane ? Es-tu un ange, que le ciel m'a envoyé ... pour finalement me le reprendre ?

Tous les jours, depuis qu'ils s'étaient rencontrés, l'Africain posait cette question à la féline. Il avait conscience que jamais il ne comprendrait les mystères qui avaient amené Tamo jusqu'à lui, et savait qu'elle ne s'en souvenait pas non plus. Probablement son propriétaire l'avait il abandonnée à bord d'un transport naval de marchandises ... Mais il s'était toujours plu à croire que c'était un cadeau venu d'ailleurs. Rien que pour lui.

- Tamo ... Je suis venu te dire adieu, lui avoua-t-il, d'une voix brisée par le désespoir. Demain, cette cabane sera abattue. Tu dois partir. Ailleurs. A dès lieues d'ici. Toi et tes chatons, sauvez-vous. Partez, loin, le plus loin possible de l'homme, et de sa folie dévastatrice. Je ne peux pas vous emmener avec moi, mon amie ... Je veux le bonheur de la famille que tu as fondée, avant tout. Et là où je vais, rien n'est comme ici. Les petits ne supporteraient pas le voyage, ils sont trop jeunes. Et toi ... toi, tu es trop fragile, à présent. Je devrai travailler ... Pour survivre ...

Le discours disloqué et désordonné du jeune homme témoignait d'un trouble profond. Chacun de ses mots fendaient le coeur de Tamo, lui enfonçant une lame au plus profond de l'âme. Quant à lui, il se mourait de l'impuissance qui l'entravait. La force de leur amitié qui, leur semblait-il, durait depuis la création du monde, leur avait, bien trop vite, fait oublier le fossé qui les séparait. Les années avaient transformé Sam en homme robuste et fier, et Tamo en vieillarde fatiguée. Aujourd'hui, le temps reprenait possession du fruit de sa création, et brisait ce lien qui avait peu à peu rongé son pouvoir.

Le temps et la distance sont les pires ennemis de l'affection.

Les deux amis venaient de l'apprendre, au prix d'une énorme baffe dans la gu**le.



L'aube n'était pas encore levée, lorsque Tamo fit sortir ses deux rejetons de la cabane. La route serait longue. Partir. Mais pour aller où ?! Elle n'avait jamais rien connu d'autre que son existence ici, en SA compagnie... Ou peut-être que si, finalement. Peut être, aussi, qu'elle avait simplement préféré l'oublier. Elle leva la tête vers le ciel. Les premiers rayons du soleil, d'une finesse rosée, perçaient les nuages. Il fallait faire vite, leur temps était compté. Fermant les yeux, elle fit un tour sur elle-même, serra les mâchoires, et avança. Un chemin qu'elle n'avait jamais emprunté, mais qu'elle connaissait pourtant par coeur. Cette désagréable impression de reconnaître sans avoir connu l'habitait à chacun de ses pas, la poussant à poursuivre sa route. Ca ne l'effrayait pas, non. En réalité, la vieille mère était bien trop lassée et désemparée pour y prêter une réelle attention. Elle avançait. Dans la direction que son instinct lui dictait. Personne ne serait là pour la féliciter d'avoir su se diriger d'elle même, ni même pour s'inquiéter si jamais elle se mettait en danger. Elle vivait seule. Seule avec eux. Mais seule quand même.

Vient un jour, dans toute vie, où la compagnie matérielle est dérisoire. C'est d'une présence émotionnelle que le coeur a besoin.
Et pourtant, l'un n'est rien sans l'autre.

Ce n'est qu'au bout de longues heures d'une marche épuisante, tant pour la vieille femelle que pour les rejetons, que les ombres graciles des hauts mâts des voiliers se dessinèrent à l'horizon. L'éclat du soleil, se reflétant sur les pontons d'une clarté immaculée, parsemait l'atmosphère de fins éclairs aveuglants. Le port était en vue. Tamo poussa ses progénitures à la suivre vers un coin frais et retiré du port, un hangar où les hommes entreposaient les diverses pièces nécessaires à la construction des bateaux de pêche. Elle s'installa sur une toile qui, une fois taillée convenablement, deviendrait une voile parfaite, tandis que les deux énergumènes s'emmêlaient les pattes dans un tissage complexe de cordages noués, sous les yeux attendris de la vétérante. Ils avaient toujours été très proches tous les deux, malgré leurs flagrantes différences, depuis le jour de leur naissance. La femelle était plus calme, timide et docile, presque retirée, tandis que le mâle avait l'insouciance et la fougue de tout nouveau-né.

Ce fut le cliquetis métallique de la serrure de la porte à double battants qui brisa cet émouvant tableau. La silhouette titanesque d'un malabar, avec des épaules si larges qu'on aurait juré qu'il avait avalé une armoire, se découpa dans la lumière crue du soleil, probablement à son zénith désormais. Une barbe hirsute, parsemée de miettes du sandwich qu'il venait d'avaler, descendait jusqu'à la moitié du buste de la créature, semblable à un sapin de noël et ses multiples guirlandes lumineuses. Deux minuscules yeux noirs, luisants comme des boutons de manchette, et une crinière capillaire aussi garnie que celle d'un lardon complétaient le portrait. En bref, Frankenstein était parmi nous, et les petits hommes verts censés envahir la terre ne devaient guère être loin, eux non plus.

A la vue de ce bougre mal embouché, Tamo feula. L'ambiance était aussi tendue que la corde d'un string, jusqu'à ce que ...

- Ah gouzou gouzou, qu'il est mignon le chaton !!!

PAF ! S'il y avait eu un mur contre lequel se frapper la tête d'exaspération, la boîte crânienne de la vieille mère y aurait parfaitement trouvé sa place.

- Bah alows, qu'est qui font là les pitits minouuuuuus ?!

Le chewing-gum ambulant avait la désagréable habitude de transformer les "r" en "w", ce qui donnait l'agaçante impression qu'il ruminait une sorte de pâte à mâcher.

- Owh mais ch'qu'ils ont peuw ?!!

L'excentricité du type agaça bien rapidement la mère, qui s'empressa d'attraper l'un de ses gamins par la peau du cou, de pousser le second devant elle, et de sortir du hangar. Le moment était venu, il était l'heure de partir. Les navires amarrés prendraient bientôt le large, bravant les éléments, affrontant la colère de Poséidon, arrivant à destination si celui-ci le permettait. Et, avec un peu de chance, les félins trouveraient le moyen d'embarquer sur un bateau suffisamment robuste pour fuir loin, très loin d'ici, comme le voulait Sam.

- Rrroaaaaaaar !

La Norvégienne Silver se retourna, inquiète et sur la défensive. Face à elle, et ses rejetons, se dressait un lynx d'une taille effarante. Un feulement, accompagné d'un crachat et d'un coup de patte, toutes griffes sorties, laissa deviner la moindre de ses attentions. Apparemment, Miss Lynx n'appréciait pas de partager le territoire qu'elle avait fait sien.

- Ssssssssh !

Un pas, deux pas, trois pas ... Et à peine une demi-douzaine de longueurs de queues séparant l'attaquant de l'attaquée ... ou plutôt, des attaqués. Tamo n'avait plus le choix, la priorité était de sauver ses progénitures. Il était tout bonnement impossible, pour une vieillarde comme elle, de faire face à une opposante de cette envergure. La fuite était la seule solution, et aux diables les principes. D'un mouvement vif, la mère esquiva un dangereux coup de patte, attrapa un chaton entre ses mâchoires, et sauta sur le ponton le plus proche. Le hurlement rauque d'une sirène retentit : le paquebot prenait le large, s'éloignant dangereusement du bord. L'inquiétude dans le regard, Tamo observait la distance qui la séparait de son fils croître de secondes en secondes. Bientôt, celle-ci serait beaucoup trop importante pour être franchie. Elle devait y retourner, maintenant, ou jamais, elle le savait ! Cependant, sa phobie de l'eau la paralysait. Ce n'est que lorsque le petit miaula de frayeur qu'elle franchit le pas. Ses pattes décollèrent avec une souplesse un peu juste, mais suffisante pour atteindre la rive. Elle saisit le chaton terrorisé et s'élança vers les flots, consciente que son âge ne lui permettrait pas de bondir à une telle distance. Le poids des années était trop lourd à porter ... En un puissant mouvement de cou, elle envoya la boule de poils encore tremblante au près de sa soeur.

SHPLAAFF

Un corps qui tombe, qui sombre, sans même chercher à lutter contre la force démoniaque des ténèbres aqueuses. Tout effort serait vain. Il est tellement plus agréable de se laisser bercer par le lent mouvement de l'eau, de sentir sa douceur vous envelopper tout entier. Tout devenait flou autour de la vieille chatte, condamnée, qui se croyait à présent dans le ventre accueillant de celle qui lui avait donné la vie.

Les faibles disent l'instinct de survie incontrôlable pour masquer leur incapacité de le dominer.

A bord, les deux minuscules créatures observaient les bulles d'air se raréfier à la surface et, bien qu'ils soient trop jeunes pour saisir l'horreur de la situation, ils sentaient l'inquiétude inonder leur âme.

SHHHCRRTCHH

Et une flaque pourpre qui se dessine, s'étend, se dilue dans mers et océans, chassant toute ombre de doute sur la tragédie qui venait de frapper cette regrettée Tamo. L'hélice meurtrière venait de sceller son sort : de la vieille chatte, ne restait plus qu'un souvenir.

Le présent est passé, le futur, condamné.

Et le présent, il était bel et bien là. Deux orphelins, perdus au beau milieu d'un cargo dont ils ignoraient jusqu'à la direction.

- Mamaaaaaaan ! MAMAAAAAAAAAAN ! Maaa ... Maaaman ...

- Elle ne reviendra plus, Samba.

Tanga. Elle avait toujours été plus mature que son frangin. Dans de tels moments, elle considérait cela comme un défaut.

- Tu mens ! Elle va revenir ! Elle ... Elle ... Ma... Maman ...

- Non, petit frère ... jamais, plus jamais ...

- MAMAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN !

Un cri qui aurait déchiré le coeur d'une pierre. Le hurlement d'un enfant à qui l'on arrache son plus grand bonheur. Sa raison de vivre. Son essentiel. Son tout, son rien. Son existence.

Deux jours plus tard.

- Tanga ? ...

- Quoi ?

- J'ai faim ...

- Je sais, moi aussi.

- Et si on allait chercher à manger ?!

- Ouais !

Et c'est ainsi que les deux gamins se prirent pour James Bond à travers le navire. Ils avaient pris la difficile décision de ne plus jamais aborder l'épineux sujet de la disparition de celle qui les avait élevés. Samba était étranglé de culpabilité.

- Eh, c'est qui, eux ?

- Chais pas, mais ... ça sent bon !!

- Ca sent le poisson !

Effectivement, près d'eux, une petite caisse, posée sur le sol, contenait les restes des alevins que les pêcheurs avaient vidés, puis rendus consommables. C'est avec une once de joie que les bambins satisfirent la férocité de leurs appétits, plongeants sans retenue leurs museaux rosés dans les déchets.

Une lune entière passa, durant laquelle Samba et Tanga subvinrent à leurs besoins de manière semblable. Jusqu'à ce qu'un beau matin ...

- Samba ! Samba ! Le bateau est arrêté !

- Rhm... laisse moi dormir ...

- Samba, debout ! On est arrivés ! On ... On a fait ce que maman voulait ...

La voix de la jeune chatte se brisa. Son frère se dressa sur ses pattes en un bond, et la fusilla du regard.

- IDIOTE ! feula-t-il. Ne parle plus jamais d'elle ! JAMAIS !

- Samba ... On ... Qu'est ce qu'on va faire maintenant ...? On a plus rien ... plus aucun but ...

- Tanga ... Je ... j'aimerai rester ici ...

- Q... Quoi ?! Tu ... tu plaisantes ?!

- ...

- SAMBA ! Dis moi que c'est pas vrai ! Dis moi que tu mens ! T'as pas le droit ! Tu m'as promis ! Tu m'as promis qu'on resterait toujours ensembles ! TOUJOURS !

- Ecoute, Tanga. Que tu acceptes de l'avouer ou non, je ne peux m'empêcher de penser que SA mort est de ma faute. J'ai l'impression que ... que rester ici, revoir l'endroit ou C'est arrivé ne peut que me faire du bien...

- ...

- Tanga, je t'en prie ... Ne ... Ne m'en veut pas ...

- Ce n'est pas ce que maman aurait voulu, Samba ...

- Tu n'en sais rien ! Maman est partie ! Je refuse de vivre dans l'ombre de sa mort toute ma vie ! UN MORT NE DIRIGERA PAS MON EXISTENCE !

- Mais, tu disais ...

- Laisse moi ! PARS ! Va-t-en ! Je veux plus te voir ! PLUS JAMAIS !!!


Devant le regard empli de rage de sa seule famille, Tanga sentit son coeur se serrer. C'est d'une démarche chancelante qu'elle s'éloigna de lui, tête basse.

- Adieu, petit frère ... murmura-t-elle.

Le coeur de Samba s'accéléra, mais qu'avait-il fait ? Surement la plus grosse conn*rie de sa vie. Non, c'était une idiote elle ne comprenait rien à rien. Pourtant tout à coup, il ressentit un vide un très grand vide, après sa mère, sa soeur, il ne pouvait que pleurer maintenant. Bon il n'était pas question de suivre sa soeur, de toutes façons le bateau était loin maintenant... Désemparé il se roula en boule et s'endormit. Il se réveilla un jour après, cette fois il était résolu à changer de vie. Mais il n'oublierait pas sa soeur....

Quelques jours plus tard le bateau jeta l'ancre dans un endroit inconnu, verdoyant, une plaine couverte de fleurs variées et colorées, Samba n'en avait jamais vu, il fut émerveillé. Et, surplombant cette plaine, une cascade qui faisait un bruit assourdissant.

Il sauta du bateau pour aller batifoler dans les fleurs, les renifler, les gouter, se rouler dans l'herbe. Quand tout à coup il heurta quelque chose ou plutôt quelqu'un, un chat, et quel chat, une carrure de malabar, des pattes aussi grosses que l'abdomen de Samba, c'était un sacré colosse !

- Eh le mioche tu peux pas faire attention ?!

Le colosse asséna un violent coup de patte au matou qui décolla pour atterrir lourdement sur le côté, la frêle créature se releva en balbutiant des excuses, effrayé par le matou mal léché.

- Euh excusez moi... Je.. J.. Je.. ne vous avez pas vu

- Ouais c'est bon chiale pas ! Bon elle est ta mère ?

Cette phrase résonna dans la tête de Samba et fit monter les larmes aux yeux du chaton. Il se cacha la tête avec ses deux pattes.

- Ne prononcez pas ce nom ! JAMAIS ! hurla t-il.

Les larmes coulaient à flots à présent. Le gros matou, interloqué, s'approcha du chaton et lui lécha affectueusement le haut de crâne.

- Bon tais-toi et suis moi dans ma tanière, tu te reposeras et m'expliquera ton histoire

Suivre cet inconnu ? Non Samba ne le voulait pas, mais à bout de force il se laissa attraper par la peau du cou et le chat le conduisit dans son petit nid douillet, même si douillet n'était pas le terme adéquat, le colosse puait la mort et sa tanière était tout sauf confortable, mais Samba n'avais pas le choix, il s'endormit comme une tombe ensuite.

Le lendemain le chat avait repris ses forces le matou se présenta, il s'appelait Blinky, ensuite le freluquet narra les grandes lignes de son histoire, Le gros chat buvait ses paroles. A la fin le matou réfléchit sous le regard inquiet du jeune chat. Après plusieurs minutes de silence et de réflexion, le chat déclara :

- Bon... Vu les circonstances qui t'ont menées jusqu'içi je ne peux pas
je ne peux pas te jeter dehors...


Le regard du jeune chat s'emplit d'espoir.

-... c'est pour cela que je vais te garder içi avec moi. Je te présenterai à mon amie Sandy. Je t'enseignerais les rudiments du combat même si j'ai pu voir que tu n'aimais pas ça.
Le jeune chat sauta sur le maton pour lui lécher la joue, fou de joie.

- Mille merci Blinky, murmura-t-il.

- Oui c'est bon c'est bon, fit il en repoussant le jeune chat en rougissant.

Le jeune Samba n'avait pas toujours pas oublié sa soeur car même s'ils s'étaient séparés, il l'aimait...

8 lunes plus tard

La caverne avait été rangée par Samba et la vit suivait son court, Blinky avait tissé une belle amitié avec son jeune apprenti qui l'aidait dans la vie de tous les jours. Samba, qui détestait combattre avait pourtant développé une sacré aisance grâce aux cours du colosse, et comme Samba n'était pas très rapide, Blinky le baptisa ironiquement " Eclair de Lune ". Pourtant le chaton aimait ce surnom et décida de la garder. Le vieux matou était autrefois un membre du clan de la Rivière, mais ne voulu jamais donner son nom de guerrier, il était très respecté en son temps. Il expliqua ainsi à Samba tous ce qu'il y avait à savoir sur les quatre clans, le clan du Sang, le clan des Etoiles et tous les rangs différents et imaginables. Grâce à l'entrainement intensif de Blinky, Samba développa rapidement une musculature marquée. Mais en parallèle il apprit à être un excellent stratège, meilleur dans son cerveau que sur le terrain, il savait analyser toutes les possiblités extrémement rapidement, mais ce qu'il n'arrivait pas à analuser, c'était les chattes ( ah les femmes xD ). sur l'îlot, quelques autres chats vivaient, sans hostilités, et pourtant le gibier ne manquait pas. Et ce jour-là n'était pas un jour comme les autre, Blinky allait lui présenter Sandy !!

Après une petite toilette, il partirent à travers les fourrés, après quelques kilomètres de marche, ou plutôt de course, car en effet le gros matou avait toujours un moyen pour s'entrainer, ils arrivèrent à la tanière de la chatte. Essouflés, ils la cherchèrent de regard, et une lueur parcouru le regard d'Eclair de Lune, une magnifique American Bobtail faisait sa toilette,c'était une chatte de taille moyenne, trapue, lourde, à poils courts, bien en chair est musclée. Sa queue était courte et sa balançait de gauche à droite tel un métronome infatigable, sa robe moyenne était double, dense et hirsute, d'un belle couleur blanche. Ses yeux bleu azur plongeaient Samba dans un océan de bohneur. Ses pattes étaient plutôt grosses et ses oreilles était trés peu poilues de l'intérieur. Le coeur d'Eclair de Lune ne fit qu'un tour, en un éclair le voilà déjà assis, en prenant une patte à la jeune chatte et en lui susurrant un discours à l'eau de rose :

- Hello beauté, vous devez être la charmante Sandy, on m'a beaucoup parlé de vous, et on ne pas point menti, vous êtes belle comme c'est pas permis, même si c'est sous ce zénith que nous nous rencontrons, je vois en vos des milliers d'étoiles brillantes et flamboyantes comme mon coeur ardent, permettez moi de vous enlevez et de vous emmener loin, loin d'içi, loin de tout, vous et moi, à jamais réunis * il fit un baise-patte *, nous pourrions ainsi laisser libre court à notre amour, mi amor, preciosa.

La chatte interloquée retira sa patte, et d'une voix douce elle lui répliqua en souriant.

- Mais bien sur, et quand tu auras bien mangé bien grandi tu reviendras me voir et tu auras peut-être une chance, fit-elle en lui effleurant le museau.

A ça ! Elle n'était pas dupe mais taquine la Sandy, et voilà, recalé le Samba, tétanisé, il se retourna peneau pour chialer plus loin. Blinky s'avança :

- Ah ! Ma très chère Sandy, comment vas-tu, j'espère que ce jeune impertinent, et je pèse mes mots, fit-il en le fusillant du regard, n'a pas trop abusé de ton temps précieux.

- Non, bien sur que non, fit-elle d'un sourire radieux, il est jeune et inexperimenté, on ne peut li en vouloir.

Puis ils apprirent à vivre ensemble, et un amour naquit entre Samba et Sandy, un amour que rien n'aurait pu détruire, à part cela...

3 lunes plus tard, un changement s'était produit chez Sandy et Blinky, ils étaient devenus soucieux et parlait tout bas quand ils étaient seuls, ce qui avait le don d'inquiéter Eclair de Lune, mais même après moults interrogatoires, rien n'y fit.

Et une nuit, alors que Eclair de Lune chassait, les deux autres avaient des mines plus inquiètes et anxieuses que d'habitude, Samba décida alors d'aller chasser, en espérant ainsi redonner le sourire à ses compagnons, après avoir caliné sa dulciné et lécher affectueusemet son mentor, il se précipita dehors, l'odeur de gibier était assez faible, il devrait aller s'enfoncer dans la forêt. Peu après il repéra deux petits lapins qui gambadaient, tapis dans l'obscurité, et à pas de loup, il s'approcha lentement de ses proies en reflechissant à un schéma d'attaque, après s'être décider, il bondit vaillament sur les frèles créatures, un coup de patte suffit pour abattre le premier, mais le deuxième s'enfuyait, malgrès son handicap, Samba courrait relativement vite et n'eut pas trop de mal à achever le dernier. Puis, il sentit la faim qui commençait à se manifester dans son estomac, il huma l'air et repéra une souris, très proche, quelques minutes plus tard il jouait avec sa proie apeuré qui courrait dans tous les sens, et enfin, il lui asséna le coup de grâce. Après s'être régalé de la souris, il attrapa les deux lapins et les emmena à la tanière.

La surprise fut telle que le chat lacha ses deux proies, devant lui se trouvait des traces de sang, touffes de poils, mais ce n'était pas le pire, Sandy était là, devant lui couchée sur le flanc... Froide, inerte. Oui elle était morte... Et cette nuit là, les larmes coulèrent à flot, comme elles n'avaient jamais coulées, Bye bye Beautiful... Il repensait à tous ces moments passés avec eux, Blinky était surement mort lui aussi, il y avait clairement eu trop de catastrophes dans sa vie, pour y remédier il serait un solitaire, oui un solitaire...
Et c'est ainsi qu'il tourna une nouvelle page de sa vie... Il repensait à sa soeur, à ce qu'il avait dit, il se disait que s'il l'avait suivi, il aurait évité de ressortir d'une nouvelle aventure encore plus meurtri qu'il ne l'avait jamais été, mais il devait relever la tête. Et sa mère, sa pauvre mère qui est morte par sa faute, il avait pourtant hérité lui aussi de sa phobie mais il aurait du l'aider, quel chaton indigne... et c'est dans cet état d'esprit qu'il sauta sur le bateau qui levait l'ancre... Il était décidé à rejoindre sa soeur. Et dans le nuit on pu entendre un chat en deuil, qui miaulait dans la nuit...

Au revoir les amis...


Famille connue (Facultatif) :
Mére - Morte
Père - Inconnu
Soeurs ( Indicible Trahison, Fleur de Pavot ) - Sans nouvelle - Inconnue
Demi soeurs ( Requiem Nocturne, Fleur de Musique, Pluie d'Avalanche et Ténèbres ) - Sans Nouvelles - Inconnues


.:Hors Jeu**:.


Prénom : Antoine
Âge : 14 bouziiies
PUF*** : Moon
Région : Pays de Loire
Codes (trois, à trouver dans le règlement) : Okaii by Sably
Comment avez-vous connu le forum ? Si c'est par un membre, merci de le citer : Indicicle Trahison powwwaaa xD
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MessageSujet: Re: C'est l'histoire d'un chat : Un chat nommé Samba [ Terminé ]   C'est l'histoire d'un chat : Un chat nommé Samba [ Terminé ] Icon_minitimeMar 31 Aoû - 2:55

Bienvenue ! (: Une nouvelle recrue sa fait toujours plaisir.

Bon tout est bon, il te manque juste un code et ton kit, puis tu seras valideii Wink
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MessageSujet: Re: C'est l'histoire d'un chat : Un chat nommé Samba [ Terminé ]   C'est l'histoire d'un chat : Un chat nommé Samba [ Terminé ] Icon_minitimeMar 31 Aoû - 3:48

O.O

Antoine ... J'aurai jamais pensé que tu ferais une histoire si longue oo'

J'aime le côté "romantique coeur d'artichaut (non Mel, pas d'Aubergine xD) qui fait le séducteur espagnol". Ca te va bien ; on voit tout de suite les grands habitués ... (Mais nan chui pas méchante :p)

Edit : En fait, je viens de voir que tu avais juste fait un copier / coller de ma prez pour toute la première partie. Je comprends mieux 8D *va se pendre* x))

Chui toujours aussi fière du caractère. =P (a)

Bref, j'te dis pas bienvenue, puisque je t'ai traîné ici de force. Eh oui, j'ai toujours su que tu ne pouvais rien me refuser (a) x)

Bref, tu as rajouté le dernier code, donc c'est okaii. On attend que le kit =)
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MessageSujet: Re: C'est l'histoire d'un chat : Un chat nommé Samba [ Terminé ]   C'est l'histoire d'un chat : Un chat nommé Samba [ Terminé ] Icon_minitimeSam 4 Sep - 5:25

C'est moi où tu viens de me foutre à découvert ? xD

Euh pour le kit je cherche (a)

Bon bah valà c'était pour montrer signe de viiiie ( chaud le mec qu'a pas d'amis xD )
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MessageSujet: Re: C'est l'histoire d'un chat : Un chat nommé Samba [ Terminé ]   C'est l'histoire d'un chat : Un chat nommé Samba [ Terminé ] Icon_minitimeSam 4 Sep - 8:19

Oui Clem', pas Coeur d'Aubergine xDD
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MessageSujet: Re: C'est l'histoire d'un chat : Un chat nommé Samba [ Terminé ]   C'est l'histoire d'un chat : Un chat nommé Samba [ Terminé ] Icon_minitimeSam 4 Sep - 8:55

Je crois que c'est bon là
Merci Mél' ^^
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MessageSujet: Re: C'est l'histoire d'un chat : Un chat nommé Samba [ Terminé ]   C'est l'histoire d'un chat : Un chat nommé Samba [ Terminé ] Icon_minitimeSam 4 Sep - 8:59

Tout est ok.

Je valide.

Enjoy .!
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MessageSujet: Re: C'est l'histoire d'un chat : Un chat nommé Samba [ Terminé ]   C'est l'histoire d'un chat : Un chat nommé Samba [ Terminé ] Icon_minitime

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